Eptica en 2011 : 20% de croissance, 40% du chiffre d’affaires à l’international dont 6% en Asie
Eptica a joué en 2011 sur trois leviers de croissance : le Social CRM, le SaaS et sa présence internationale, notamment en Asie. Il est désormais une entreprise de référence de l’industrie française du logiciel.
L’éditeur français de logiciel spécialiste de la réponse client cross-canal et multilingue Eptica entame l’année du Dragon avec de nombreux atouts :
- un chiffre d’affaires qui augmente de 20% par rapport à 2010
- de solides implantations et références clients en Europe et sur la zone Asie,
- une innovation logicielle qui a su anticiper les besoins de Social CRM et du SaaS,
- et une technologie reconnue par les analystes et qui fait référence pour les systèmes “up-to-date” de réponse aux clients.
« La croissance que nous avons connue en 2011 démontre la pertinence de notre stratégie de développement. Nous sommes particulièrement fiers du succès rencontré par la version 8 de notre suite logicielle depuis son lancement début 2011. Ses modules dédiés aux médias sociaux apportent une réponse concrète aux nouveaux modes d’interactions client des entreprises », commente Olivier Njamfa, CEO d’Eptica.
Une entreprise innovante française en forte croissance tout juste 10 ans après sa création, Eptica continue d’afficher une croissance à deux chiffres, qui s’avère même supérieure à celle du marché français des logiciels : le chiffre d’affaires d’Eptica progresse de +20% pour atteindre 6,3 millions d’euros, quand le secteur gagne +10%. Eptica a grandi par croissance 100% organique, avec 26 nouvelles entreprises qui lui ont fait confiance dont ANCV, Darty, Guy Degrenne, Metro, Pagesjaunes et Quiksilver en France, SGEL en Espagne, Debenhams et TUI au Royaume-Uni, ou encore Auchan China et LTA à Singapour…
Les ventes de ses solutions en mode SaaS ont cru de 42% par rapport à 2010, confirmant l’attrait de ce mode d’accès au logiciel dans les entreprises pour leurs projets CRM Multicanal. Un éditeur de logiciel qui réussit à l’international, notamment en Asie 40% du chiffre d’affaires a été réalisé à l’international - contre 34% en 2010. Eptica a développé sa présence non seulement en Europe avec des contrats majeurs signés au Royaume-Uni chez Dixons, Debenhams et en Espagne avec SGEL. En Asie du Sud-Est où il a eu l’audace de s’implanter il y a 3 ans et qui pèse aujourd’hui 6% de son activité, le développement d’Eptica est porté par la capacité de ses solutions à être déployées dans les langues locales et par ses innovations en Social CRM dont les entreprises sud-asiatiques sont très demandeuses, en lien avec l’explosion des activités e-commerce dans cette région du monde.
Une R&D qui a su anticiper les besoins en “Social CRM” des entreprises 2011 a été marquée par l’arrivée massive des marques sur les réseaux sociaux et sur les apps pour terminaux mobiles. La version 8 d’Eptica Enterprise Suite avec deux modules dédiés ajoutés à sa plate-forme (Eptica Facebook Portal et Eptica Social Media Observer) a apporté dès janvier une réponse concrète au besoin des entreprises d’étendre leur relation client aux “nouveaux médias” en répondant directement sur ces espaces web. Des projets très innovants ont ainsi été conduits par la compagnie aérienne Air Asia , VertBaudet, RueDuCommerce et FNAC. Cette innovation lui a permis d’être le seul Français à figurer parmi les 13 éditeurs retenus par Gartner dans son Magic Quadrant CRM Web Customer Management de septembre 2011 . Une technologie qui fait référence pour les projets de gestion des réponses aux clients Eptica continue de développer également ses activités de gestion des emails entrants et de self service dynamique.
Des entreprises comme Viadeo et Mathon en France ont investi pour renouveler leurs systèmes de réponse client et être plus réactifs : leur nombre d’emails entrants a diminué, les emails reçus ont été traités dans des délais plus courts . A ce titre, l’étude qu’Eptica a menée à l’automne avec nexstage montrait que l’email reste un canal privilégié pour les consommateurs et sur lesquels il est payant d’investir. Cette même étude révélait également une réelle marge de progression au niveau des systèmes dynamiques de réponse client : si les moteurs de recherche par mots clés se sont généralisés sur les sites Internet des marques pour figurer sur environ 80% d’entre eux, les outils de self-service, les agents virtuels et les espaces de chats y sont présents dans moins de 20% des cas.
« Fort de ces succès et de notre assise sur nos marchés, nous prévoyons à nouveau pour 2012 une croissance à deux chiffres en dépit de la conjoncture économique tendue, car les entreprises plus encore en temps de crise qu’en période de prospérité ont besoin d’améliorer la qualité de leur relation client », conclut Olivier Njamfa.